Fredo Speciman Endurance

DCF 6H de NOGARO 2008 Par Fredo

Depuis deux ans nous voulons faire cette course. Il nous manque à chaque fois le commissaire obligatoire dans l'équipe pour prétendre à  une place parmis les engagés. Cette année nous avons la chance que Mariel est accepté.

 

Le week-end juste avant, avec Spéciman, nous finissons de remonter le moteur et le reste. Nous sommes un peu limite au niveau disponibilité. Et tout se gère un peu a la dernière minute…

 

Bref tout sera juste près pour le départ vers Nogaro le jeudi matin. Nous roulerons toute la journée, a 3 voitures. Spéciman avec sa famille sont devant avec la moto sur remorque, je le talonne avec une autre remorque rempli du barnum, outil, la multitude de jerricanes, chaises, tables, pneus, jantes, glacière, combi, béquille, et tout le bazar habituel, suivi de Zan et Mariel dans une troisième voiture. Pendant ce temps Bobo lui travail, il ne pourra prendre la route qu'en fin de journée, et roulera toute la nuit… gloupsss…

 

Nous arrivons au circuit vers 19h. Nous montons rapidement le barnum car nous sommes attendu pour le repas à 20h dans le gîte que nous avons réservé. Nous avons voulu profiter pleinement de ces quelques jours.

 

La soirée se passera comme une bonne tablée de copains avec un bon repas et du bon vin…

 

Vendredi :

 

Nous avons 3 séances d'essais libres, la première de 45 minutes, puis deux autres de 20 minutes. Nous montons des Metzéler pour économiser nos Michelin. Nous nous partageons la première séance.


Je commence par deux tours de chauffe bien utile pour me rappeler un peu du circuit. Il faut que je trouve mes repères. Lors de la concentre du club de nombreux problèmes mécanique ne m'ont pas permis de rouler. La marge est grande mais faut il avoir le temps. Je roulerais péniblement en 1'53. Je n'arrive pas à me lâcher, je suis a l'écoute de toute la moto en me demandant si elle vas à nouveau nous faire une misère qui nous pourrirez a tous ces quelques jours. Comme tout semble fonctionner j'arrive petit à petit a me lâcher en me concentrant un peu plus sur la piste mais la séance est déjà fini. Je sort et passe la moto a Bobo.

 

Il s'élance et roule directement dans d'excellents chronos. On voit du bord de la piste qu'il est tout de suite à l'aise et en confiance. Il enquillera les tours réguliers en améliorant régulièrement. Il claquera de mémoire un beau 1'43. Des qu'il sorts de la piste nous le félicitons et aussitôt après je lui prend la tête à propos de la moto :

- Est-ce que t'as remarqué un truc anormal ?

- A combien est elle en température ? etc etc , je suis obnubiler par la crainte du problèmes mécanique. Bobo lui semble aux anges avec une banane entre les deux oreilles.

 


Spéciman enchaîne. Il roule également rapidement dans ses chronos. C'est bon signe, c'est qu'il est en confiance, et qu'il va s'amuser sur la moto. Si il s'amuse il va encore améliorer. Ca promet …


Des qu'il sort de la piste je lui fait la même qu'a Bobo, limite pas content qu'ils n'y prêtent pas autant d'importance que moi. Du coup je me dis qu'il va falloir respirer un grand coup et se lâcher un peu pour profiter. N'étant pas top et n'étant pas serein je me dit que de rouler l'après midi, me permettrai de faire des ronds, mais je suis convaincu que je n'améliorerai pas. Je préfère donc laisser mon roulage à Spéciman et Bobo pour qu'ils en profitent pour améliorer. Je sais que pour la course je zapperais tout mes petits tracas  et que tout reviendra dans l'ordre. Du moins je compte dessus…

Après ce dernier roulage, passage au control technique, et nous sommes tranquille.

Nous commençons a parler avec Spéciman de comment nous allions nous organiser pour cette course. Ceux sont nos premier 6 heures. Nous partons sur le principe que seul le pneu sera a vérifier et certainement à changer. Nous préparons la moto pour les essais matinaux du lendemain.

 

 

Samedi essai qualif :

 

Un peu bouguon c'est Bobo qui doit commencer. Il n'est pas du matin et peste. En plus il part avec des pneus neufs et froids à roder. Il assure en faisant trois tours de chauffe pour monter les pneus en température, puis commence à accélérer. Les temps descendent régulièrement, 2'- 1'58 – 1'54 – 1'51 –1'47 puis drapeau a damier !!!!  arggg…


On a grave les boules, Bobo n'a pas eu assez de temps pour descendre encore de 4 scds ou il a perdu trop de temps a chauffer. Nous nous en voulons de lui avoir mis la pression sur cette histoire de pneus.

 

Pas grave, c'est au tour de Spéciman. Nous lui préparons la moto en remettant juste ce qu'il faut d'essence. Il s'élance à son tour, et il est directement dans ces chronos. Nous le suivons de près du bord de la piste, toutes nos pensées le poussent et on espère qu'il va nous claquer également de bonnes pendules. Il descend ses chronos petit à petit pour finir sa séance sur un 1'51. Il est moyennement content car il aurait voulu plus de temps. Spéciman n'est pas un sprinter…

 


A mon tour, j'appréhende car nous comptions sur Bobo dans un premier temps, et pour ma part j'espère pouvoir me lâcher pour retrouver un peu plus mes sensations. D'entrée je suis mieux, je n'ai plus qu'a pousser et essayer de travailler certaines parties ou j'ai encore du mal. Mes chronos descendrons doucement pour s'arrêter a 1'46. Ouf 7 secondes de gagnée par rapport a la veille, ça vas déjà un peu mieux.

 


Nous attendons les résultats finaux. Nous sommes donc en 28eme position, dans la deuxième moitié. Nos copains des n° 18, 70 et 14 sont tous devant nous, mais ce n'est pas grave, nous savons que la course sera longue et que nous n'avons pas pu nous exprimer pleinement.  

 

Il va être l'heure de manger, nous sommes rejoins par des volontaires qui sont venu pour nous encourager et nous donner un coup de main. Fazerboy et Katia seront notre team pour aider ma chérie Anna. C'est top nous avons tout ce qu'il nous faut. Milles merci a vous !

Reste plus qu'à lancer le bbq, sous 35°C a l'ombre, ce  sera notre épreuve difficile de la journée. La troupe à nourrir est grande, tout le monde se réfugie a l'ombre du barnum. L'équipage 70, Floris lleidos, Zan, la houille, Franckie, Jules, Marius, Spéciman, Bobo, Fazerboy, Katia, Mariel,  Anna et moi-même. On se sert les coudes et nous expédions tout.

 

 Une fois mangé, et la vaisselle faite,


nous saluons les copains, et toute l'équipe de la 3 prend la direction du gîte pour goûter tranquillement à la piscine. Nous en profitons pour faire transpirer notre connerie habituelle, bataille diverses et variés, ping pong, pétanque, histoire de se défouler et d'être chaud pour l'apéro.

Mariel nous fait une bonne petite sieste sous les palmiers, Fazerboy la suite de près…

La soirée se passera sur le même rythme. Seul un cubi de rouge nous résistera pour le dernier litre, Mariel étant rassasié.

Nous nous séparerons pour la soirée, une moitié allant a un festival médiéval, l'autre tentera de tomber le reste du cubi. Katia, malheureusement, par un fâcheux concours de circonstance devra rentrer chez elle car elle n'a pas pu prendre ses affaires pour le week-end comme nous lui avions demandé et conseillé. Elle se fera une courte nuit pour revenri tot le matin. Elle est top on peu compter sur elle !

 

Dimanche La Course :

 

Nous arrivons de bonne heure pour tout préparer. Nous installons le stand que nous partagerons avec deux autres équipages dont celui de M. Vidal. Il semble être venu pour faire un résultat, nous nous faisons discret espérant bien manger de la Ducati au petit déjeuner et au déjeuner.

Je prendrais le départ, je me force à grignoter et à boire. Il est 10 heures et ça a du mal a passer. Je suis tout crispé, le ventre pris dans un étau. Je ne sais pas pourquoi mais je flippe. Ce n'est pourtant pas mon premier départ, mais j'ai tellement envie de réussir cette première heure que je me met la pression tout seul. Je m'isole petit à petit dans mon monde, fait les 100 pas. Puis nous sommes appelé en pré grille. Je me retrouve avec copain qui m'accompagne pour tenir la moto. Nous nous retrouvons comme à notre habitude, tout les deux dans ces moments. Je me confie, il me rassure. Je lui explique comment je veux partir. Nous faisons d'abord deux tours de chauffe, puis me voila près a courir avec toute la meute.

 

Nous attendons le signal. Le panneau 3 minutes nous est présenté, elles semblent interminables. Il n'y a plus aucun bruit, on sent la pression monter. Le public est là, mais reste silencieux, l'ambiance dans ma combi est glaciale.

Puis le panneau 2 minutes, ça n'en finit pas, c'est long. Je ne sais pas comment me mettre, le pied droit en avant ou le gauche, est ce que je vais pouvoir me faufiler, il ne faut pas caller, est ce que je vais entendre le moteur démarrer etc.

30 secondes, là le cœur tape fort, c'est bientôt, puis feu, le drapeau donne le signal.

 

Je cours vers la N° 3 l'enfourche, m'applique a m'assurer qu'elle démarre ce qui ce passe très bien et je part bien. J'en double plein, mais rapidement me retrouve en plein paquet, je vais plus vite que beaucoup mais je me retrouve coincé. J'essais de doubler à gauche, ça ne passe pas trop de monde, je tente à droite c'est le même problème, je rage. Puis je vois une ouverture, je cherche pas midi à quatorze heure, je visse la poignée et arrive a passer deux ou trois motos. Nous arrivons dans les virages et l'escargot. Je suis a nouveau bloqué, j'aurais voulu prendre à l'intérieur mais il y a déjà du monde, je perd énormément de place gagner au départ argggg…..


 Tanpis c'est loupé, je passerai quand ce sera mon tour. Malheureusement je ne peu que constater que je me fais doubler par ceux qui ont réussi a prendre a l'intérieur. Arg, j'ai l'âme bagarreuse, et il me tarde de sortir de se paquet pour remettre un les pendules a l'heure.

Je les aurais plus tard. Je sort de l'escargot, m'applique pour rester a l'intérieur histoire de remettre gros gaz le plus tôt possible. J'ouvre en grand la moto part comme une balle mais d'un coup se met a guidonner hyper violemment !!! whaouuu qu'est ce que c'est que ce bordel. J'arrive a doublé, j'aime bien quand ça bastonne en paquet. J'arrive a la ligne droite des stands, je met gaz comme d'habitude, et l'avant guidonne en allant frappé de butée en butée. J'ai le palpitant a fond. Là on a un souci et il vas falloir faire avec, je passe nous sommes 28eme. Tous ce que j'avais gagné par mon bon départ, je les reperdu en ne pouvant pas me faufiler….

La moto a marche super bien, mais il va falloir avoir les bras solide pour la tenir, nous ne pouvons plus changer de réglage en pleine course, quel dommage. Avec les Metzeler nous n'avions pas du tout ce souci…

A la sortie de l'escargot, je suis au fesse d'une Ducati, je me prépare a l'attaquer, il ouvre en grand en laissant une belle traînée noir sur la piste, puis sa moto se met a l'écart et le pilote s'envole au dessus. Ca va très vite, soi je me prend la moto soit le bonhomme, je pile, les deux retombent en s'écartant heureusement chacun de leur côté, j'ai juste la place pour passer au milieu. Un safty car sort, et nous commençons à faire des ronds le temps de dégager la piste. Je me frotte les main, car j'aime ces situations, ca vas rouler en paquet et vas falloir mettre le couteau entre les dents.

Je guette la sortie du safty pour en manger un maximum. Go c'est parti, j'en double plusieurs, c'est bon ces bastons. Je n'hesite pas une seconde des que je peux je passe. Interieur extérieur frein, accé, tout est bon du moment que ca passe et que je gagne des places. En un tour  nous sommes 13eme, yes !


Je remonte petit à petit et trouve sur ma route Floris. Nous roulerons 1 heures ensemble. Un coup je le passe un coup il me passe. Je suis dans sa roue, il est un peu plus vite que moi, mais je m'accroche. Il est hors de question qu'on lâche face aux copains de la 70, c'est la course dans la course. Je regarde le panneautage j'ai bientôt fini mon heure. Je commence a regarder a chaque tours pour ne pas louper l'ordre de sortie. Ca y est plus qu'un tour, et il va falloir assurer le relais.

 

Je prends la voie des stands, j'arrive devant le box ou toute l'équipe est là. Spéciman me béquille, j'ouvre le réservoir, je descend et empoigne l'acerbis, Katia est en poste tenant son rôle très sérieusement, Bobo est près a bondir, Fazerboy et Anna sont juste a côté près a au cas ou, c'est bon, je me retire et bobo saute sur la moto est part en un clin d'œil.

 

Ma chérie me fait signe comme quoi il semble que j'ai assuré mon relais en roulant régulier en 45 , c'est génial. Pendant que je retire la combi, Spéciman s'équipe pour se tenir près au cas ou. Katia et Fazerboy assurent super bien. Lui panneaute avec Anna en surveillant ce qui se passe devant nous et derrière nous sur la piste, Katia aide a s'habiller et a enlever les combi, prépare les futur plein en respectant la conso, nous encourage a manger alors qu'on a pas faim et nous encourage a nous poser pour récupérer.

Je rejoint le mur du panneautage et constate que notre Bobo est en pleine forme.


Il enquille les tours comme une horloge, avec le jeu des ravitaillement et sa régularité il nous approche du top ten. Je pense a lui et au guidonnage, il semble s'en sortir et ça devrait tenir. Il fait son heure en roulant comme un chef régulier en 44, puis c'est l'heure d'un nouveau relais.

 

On refait le plein, le calcul de la conso est bon, c'est Spéciman qui part a son tour. Copain est nez dans la bulle et enquille les tours réguliers en 45. Notre équipage est super homogène. Nous le panneautons pour qu'il ne lâche pas son effort, après cette nouvelle série de ravitaillement nous sommes 10eme !


Fazerboy constate qu'en forçant un peu, Spéciman peut aller chercher le 9eme. Nous le panneautons en lui indiquant le numéro du concurrent en point mire. Il comprend aussitôt et enquille ses tours sans relâcher la pression. La remonté durera quasiment 35 minutes, l'écart diminue régulièrement, puis il le double. A la force de l'effort et de la régularité il prend ainsi la 9eme place. Il augmente un peu l'écart puis vas devoir sortir pour me rendre le guidon.


Le ravitaillement se passe sans encombre, je repart le couteau entre les dents en espérant ne pas perdre cette place voir à l'améliorer.

Les guidonnage sont toujours là pour nous pourrir nos remises de gaz, j'attaque puis au bout de 20 minutes, l'arrière me fait une dérobade. Le pneus commence a souffrir, a chaque remise de gaz j'exagère mon déhanché tout en me méfiant des guidonnages. Je ne veut pas m'en mettre une maintenant alors que nous réalisons une belle course. Du coup je tourne régulier mais 1 scd moins vite que mon premier relais.


La jambe droite avec cette exagération de déhancher commence à se faire sentir, tous les longs virages a droite ont raison d'elle petit à petit. Ca va être tendu, je sers les dents et ne lâche rien, je sais qu'en théorie c'est mon dernier relais. Je continue notre remonté, nous pointons maintenant en 7ème position, c'est génial.

Puis un nouvel objectif se pointe, j'ai devant moi la n°70 avec mon cher copain Zan qui n'en manque pas une depuis ce début de saison pour me pourrir. L'heure de la vengeance aurait elle sonné ???


Je suis dans sa roue, nous attaquons la ligne droite, je fait parler la poudre et lui tombe dessus a vitesse grand V.

Puis je me dis que si je le double ainsi, il serait bien capable de mettre cette performance uniquement sur l'avantage de la moto, donc je monte à sa hauteur histoire de lui faire coucou pour qu'il sache que je suis dans ses basques, et pour lui mettre un peu la pression qui va bien hihihi.

Nous arrivons au freinage, je le laisse passer en premier et me tient près à le prendre à l'accélération à la sortie du double droite, puis m'y refuse pour les mêmes raisons.

Nous prenons ensuite le double gauche nous amenant sous le Dunlop, je reste a nouveau sagement derrière. Nous prenons roue dans roue le double droite, suivi de la petite ligne droite, toujours en rongeant mon frein.

Puis c'est le déclic, je décide de me le faire dans le droite avant la ligne des stands. Je lui fait un bel extérieure imparable, et me l'imagine en pétard dans son casque, et moi je suis aux anges. Je sais que ca nous fera tout la fin du séjour ….


Je suis bien cramer, j'ai un début de crampe dans la jambes, mais c'est la fin, on me panneaute, je sort, vas juste falloir assurer le relais avec le changement de roue.

 

Spéciman est près. On me béquille, j'assiste copain qui galère avec une entretoise qui d'habitude, bien évidemment, ne nous fait pas de misère. Hop la roue est mise, je fais le plein et copain bobo repart de plus belle. 1'30 pour changer la roue et faire le plein, c'est excellent pour nous.

Fazerboy a les yeux rivés sur la télé, il calcule et recalcule qu'elle équipage peu nous faire des misères et a qui nous pouvons en faire. Il fait les 100 pas entre la télé et le muret ou Anna prend tout les tours et surveille que tous se passe bien sur la piste. Elle est a l'affût de la moindre de nos défaillances au cas ou.

Moi j'suis cramé. Je me laisse tombé dans une chaise, Katia m'aide à me sortir de cette combi collante qui tient chaud, elle nous est d'une grande aide dans ses moments sans qu'elle ne le réalise réellement.


L'heure se passe sans encombre, bobo tient son relais, mais les places devant sont très difficile a atteindre. En revanche derrière nous sa pousse fort. Entre notre 7eme place et la 13eme nous sommes tous dans la même minute. Le suspens est total, il ne faut commettre aucune erreur.


Le changement de roue nous fait perdre 2 places, Bobo enquille les tours avec son pneu neuf régulier en 44. Il maintient la place et nous remonte petit à petit à la 7eme place. Il assure tout son relais sur la même cadence.


Arrive la fin de son heure, il ne reste plus qu'a Spéciman de conclure par son dernier relais.

 

Le changement se fait en un temps éclaire, toujours avec cette équipe soudée allant dans le même sens. On encourage Spéciman qui est a l'attaque. Derrière nous sa remonte fort. La n° 4 nous reprend 5 scd par tours.


Un rapide calcule et nous savons que dans les dernières 20 minutes il sera à nos basques. On panneau Spéciman a nouveau pour qu'il pousse au maximum. Nous le suivons du regard dans la ligne droite, il arrive sur un paquet de 5 motos lors du freinage, il n'hésite pas une seconde et fait un freinage que lui seul arrive a faire parmis nous, il les double tout les cinq ! Je ne le lâche pas des yeux, j'suis quasi persuadé que ça va se finir en tout droit ou parterre.


Pas du tout, il angle, plonge et tourne en ressortant devant tout le paquet. Yes, copain est a toc. Malheureusement ça ne suffira pas, la N° 4 nous double 20 minutes avant la fin. Nous sommes 9eme, mais nous remontons sur celui qui est devant.


La 4 double le 8eme et Spéciman fait de même. Cette fois ca semble se calmer un peu, la 4 creuse l'écart confortablement attaché à sa 7eme place, et nous en 8eme position nous lâchons petit à petit le 9eme.

Spéciman franchira la ligne a cette belle 8eme place qui nous satisfait pleinement pour cette première participation.

Notre nouvelle équipe avec l'arrivée de Bobo a fonctionnée a merveille. Cette association était concoctée depuis un an.

Nos copains venu nous assister ont été géniale. Merci a Fazer d'avoir mené notre stratégie de main de maître, à Katia pour son soutien et son aide durant les relais, à Anna qui a résisté au soleil et au bruit durant 6 heures passer a chronométré, a Franckie pour avoir assurer l'intendance, et surtout surtout à Mariel qui nous a permis de s'inscrire en tenant le poste de commissaire tout en nous soutenant et en nous faisans partagé sa joie de vivre.

 

Félicitation a Hexagone et au team Demogniack qui monte sur le podium. Une pensée également pour les équipages 70 qui ont malheureusement connu une défaillance technique les faisant chuté heureusement sans trop de gravité, sans oublier l'équipage de Jean d'Hexagone n°18 qui a malheureusement connu également des ennuis d'autre électronique ne leur permettant pas de tenir la place qu'il méritait également.

 

Une chose est sur, c'est que nous y  reviendrons pour 2009 avec la même formule !

 



26/07/2008
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